La tête dans les fleurs
Maïs, soya, blé… et fleurs! Oui, oui! Je cultive aussi des fleurs, que je peux admirer le long des grands champs de notre ferme à Embrun.
Maïs, soya, blé… et fleurs! Oui, oui! Je cultive aussi des fleurs, que je peux admirer le long des grands champs de notre ferme à Embrun.
Quand on pense à la ferme, on pense aux animaux, au blé, au soya. Mais qui fait pousser ces jolies fleurs qu’on achète au marché? Située à Ridgeville, une petite ville ontarienne située à l’ouest de Niagara, la ferme TASC Tulip Pick Farm a vu le jour en 2021, alors que flottaient encore des relents de la pandémie.
Cette année, l’ail des bois se montre le bout de la tige plus tôt qu’à l’habitude. Malgré son arrivée précoce, la cueillette ne s’annonce pas nécessairement plus fructueuse. Les quantités récoltées doivent être limitées, principalement en raison de sa vulnérabilité.
Les propriétaires de la distillerie Rheault, située à Hearst, s’inquiètent pour l’avenir de leur entreprise qui fait face à des règles fiscales injustes de la part du gouvernement fédéral, selon eux.
Le prix d’une douzaine d’œufs en magasin a augmenté d’environ 8% en 2023. Cependant, le coût de production est resté stable depuis 2022. C’est ce qu’indique le rapport annuel 2023 des Producteurs d’œufs du Canada, publié le 27 mars dernier.
Journal Agricom offre une perspective francophone sur les enjeux politiques et sociaux actuels. Restez bien informés!
Les arpents verts, les champs, les bois… Ce n’est pas pour Mélissa Beaudet (Mél Beau pour les intimes). Cette mère de 4 enfants préfère dévaler les chemins creux à fond de train au volant d’une voiture de rallye, plutôt que derrière celui d’un Massey Ferguson.
L’Est ontarien se relève à peine de sa première importante bordée de neige de la saison, que la région doit se préparer à de nouvelles précipitations au cours de la fin de semaine.
L’Est ontarien se relève à peine de sa première importante bordée de neige de la saison, que la région doit se préparer à de nouvelles précipitations au cours de la fin de semaine.
Savez-vous qu’il existe un nouvel outil d’aide à la planification testamentaire et successorale pour les agriculteurs et les agricultrices ? Mis sur pied par le Financement agricole Canada (FAC) le 12 décembre dernier, cet outil permettra de mieux planifier et de mieux simplifier les étapes importantes à entamer pour ce type de planification.
La période des fêtes approche à grands pas ce qui signifie que c’est également le temps des festivités pour les agriculteurs et pour les agricultrices. Des projets, des activités ou même simplement du repos font partie des différentes façons de célébrer Noël et le Nouvel An pour ces travailleurs de la terre.
Depuis le 30 octobre, la communauté agricole du Témiskaming a l’impression de jouer pour la deuxième fois dans le même mauvais film : celui de la fermeture de sa fromagerie locale.
Le Collège La Cité a établi un programme d’enseignement en agriculture permettant de former non pas la future main-d’œuvre, mais plutôt des entrepreneurs qui auront les compétences requises pour démarrer et opérer une ferme d’élevage ou d’agriculture.
Ce n’est pas parce qu’on entaille les érables deux semaines plus tôt qu’à l’habitude, qu’on aura une saison plus longue ou plus productive. Voilà la réalité à laquelle ont été exposés les acériculteurs ontariens en 2024, reflet d’une époque où le climat se cherche.
La hausse du prix des terres et la rareté de la relève agricole provoque un recul du nombre de familles franco-ontariennes chez les agriculteurs et les éleveurs partout en Ontario. D’une part, ce sont souvent les grandes entreprises (souvent ou généralement anglophones) qui peuvent encore se permettre d’acquérir des terres, mais d’autre part, la jeune génération de francophones qui se risque dans l’aventure a d’autres préoccupations que la sauvegarde du fait français.
La menace d’une pénurie de sirop d’érable au Canada est bien réelle. La raison? Des érablières trop âgées. « La majorité de nos arbres sont plus vieux que la Confédération canadienne, ils ont entre 200 et 300 ans », estime Samuel Larivière de la Ferme Côte d’érables Inc. (Maple Hill Farm) au nord de Sudbury. « Même en plantant de nouveaux érables aujourd’hui, il leur faudra de 75 à 80 ans avant de fournir de l’eau d’érable en vue de produire du sirop. »
L’industrie de la transformation alimentaire de l’Ontario recevra la plus grosse part des subventions fédérales accordées en vertu du Fonds d’investissement pour la transformation des produits sous la gestion de l’offre.
Du 26 au 29 janvier, l’Université de Guelph en Ontario sera le théâtre d’un des plus importants rassemblements annuel des différents acteurs de l’industrie alimentaire biologique. Depuis 1982, la Guelph Organic Conference s’est établie au titre de doyenne des conférences dans le domaine, accueillant chaque année des conférenciers de renom.