- Francine Cayouette, alias Cayou, a été la caricaturiste du journal pendant 10 ans. Cette agricultrice de Casselman, dessinait le Chat de la grange entre juin 2002 et décembre 2012.
- Le 25 octobre 2013, Agricom publiera sa 600e édition.
- André Chabot, un agriculteur aujourd’hui à la retraite, est le rédacteur qui se cache derrière la plume du Père Itoine et de ses célèbres aventures.
- Pierre Glaude est concepteur du coloré personnage Père Itoine.
- Jusqu’en 2006, une équipe de cinq employés s’affairaient à préparer l’envoi postal à la main. À compter de 2006, c’est l’imprimerie qui a hérité de cette fastidieuse tâche qui exigeait un total de 20 heures de travail par journal.
- Le journal est géré par des agriculteurs. Il partage d’ailleurs le même conseil d’administration que l’Union des cultivateurs franco-ontariens, neuf fermiers franco-ontariens, mais est financièrement indépendant de l’UCFO.
- Agricom est édité par les Publications agricoles franco-ontariennes inc., une société à but non lucratif gérée par des agriculteurs franco-ontariens.
- Au fil des ans, plus d’une centaine de collaborateurs ont contribué au contenu rédactionnel du journal.
- L’Agricom a publié un livre à l’occasion du 75e anniversaire de l’UCFO, intitulé « Des Franco-Ontariens bien enracinés ». Ce livre est en vente à nos bureaux au coût de 10 $.
- Agricom possède sa page Facebook à l’adresse facebook.com/journalagricom
- Le site web d’Agricom était, jusqu’en août 2011, hébergé par le portail web LaVoieAgricole.ca, mais a depuis son propre nom de domaine, journalagricom.ca. Il s’agit d’un site où vous pouvez trouver toute l’information concernant l’actualité agricole, tout savoir au sujet des événements agricoles à venir, mais aussi y effectuer des recherches dans nos archives.
- Agricom est imprimé par l’Imprimerie Prescott-Russell depuis ses débuts, ce qui en fait le plus vieux client de l’entreprise.
- Agricom est membre fondateur d’une agence de placement publicitaire, Repco Média, qui a fermé ses portes en 2010.
- Le nom Agricom signifie « agriculture », « communauté », « communication » et « commerce ».
- Le bureau de l’actuel directeur général, Simon Durand, était autrefois la chambre noire, laquelle était utilisée pour développer les photos qui étaient publiées dans le journal.
- La mise en page du journal est passée en mode numérique en 2002.
- Les bureaux du journal se sont fait cambrioler deux fois, ce qui a causé quelques petits soucis puisque la base de données dans laquelle figuraient toutes les coordonnées des abonnés s’est volatilisée avec les ordinateurs. C’est Jean-Claude Clark qui a sauvé la mise, en sortant des boules à mites une liste papier des abonnés. L’équipe a dû la retranscrire dans le nouveau système informatique après que de nouveaux ordinateurs aient été achetés.
- L’Agricom a longtemps siégé sur le conseil d’administration de l’Association de la presse francophone, dans les années 80 et 90, et plus récemment depuis juillet 2013.
- Agricom est distribué dans 150 villes et villages en Ontario, de même qu’à l’international, au Québec, au Nouveau-Brunswick, en Alberta, au Manitoba, en Nouvelle-Écosse et au Nouveau-Brunswick.
- En trente ans, les bureaux d’Agricom ont déménagé quatre fois. D’abord publié dans les locaux du journal Le Point d’Alexandria, l’équipe s’établit à Clarence Creek, dans la maison de ferme centenaire appartenant à la famille Saumure sur le chemin Champlain. Le personnel a ensuite migré dans un ancien magasin du village, pour finalement s’établir au 2474 rue Champlain, à Clarence Creek, dans la même maison centenaire qui a été déménagée en 1990.
- En trente ans de publication, l’Agricom a dû sauter quatre éditions, celles de la fin juin, début juillet et deux au mois d’août 2006, pour cause de soucis financiers. Depuis, le journal a repris le dessus.
- L’Agricom a employé une cinquantaine de personnes au cours de ses 30 ans d’existence.
- L’équipe d’Agricom est composée de deux employés à temps plein, de deux à temps partiel et de pigistes.
- En 1986, le titre de journaliste de l’année est décerné par la Fédération d’agriculture de l’Ontario à un journaliste d’Agricom, M. Claude Dagenais.
- En 1998, le texte de Pierre Glaude intitulé « Où est la révolution du bon sens ? » reçoit le prix d’éditorial de l’année décerné par la Fédération des gens de la presse de l’Ontario.
- Toutes les archives d’Agricom peuvent être consultées aux bureaux d’Agricom.
- En 1999, le journal s’est mérité un prix d’excellence décerné par l’Association de la presse francophone, pour l’article « L’agriculture canadienne est en crise », d’Emmanuel Chabot.
- À son apogée, le tirage du journal se chiffrait à plus de 10 500 copies distribuées gratuitement.
- L’abonnement d’un an au journal n’a pas beaucoup augmenté depuis qu’il est payant. Il est passé de 15 $ en 1990 à 16 $ en 2004, puis à 20 $ en 2011, et finalement à 22 $ en 2013. Une augmentation de seulement 7 $ en 23 ans !
- Une petite annonce classée de 20 mots coûtait 4 $ en 1990. Ce n’est que 11 ans plus tard que le prix a augmenté à 9 $. Pas si cher pour vendre ou acheter !
30 choses que vous ne savez pas à propos d’Agricom
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