le Jeudi 18 avril 2024
le Mardi 23 août 2016 13:06 Volume 31 Numéro 01 Le 30 août 2013

30 choses que vous ne savez pas à propos d’Agricom

30 choses que vous ne savez pas à propos d’Agricom
00:00 00:00
  1. Francine Cayouette, alias Cayou, a été la caricaturiste du journal pendant 10 ans. Cette agricultrice de Casselman, dessinait le Chat de la grange entre juin 2002 et décembre 2012.
  2. Le 25 octobre 2013, Agricom publiera sa 600e édition.
  3. André Chabot, un agriculteur aujourd’hui à la retraite, est le rédacteur qui se cache derrière la plume du Père Itoine et de ses célèbres aventures.
  4. Pierre Glaude est concepteur du coloré personnage Père Itoine.
  5. Jusqu’en 2006, une équipe de cinq employés s’affairaient à préparer l’envoi postal à la main. À compter de 2006, c’est l’imprimerie qui a hérité de cette fastidieuse tâche qui exigeait un total de 20 heures de travail par journal.
  6. Le journal est géré par des agriculteurs. Il partage d’ailleurs le même conseil d’administration que l’Union des cultivateurs franco-ontariens, neuf fermiers franco-ontariens, mais est financièrement indépendant de l’UCFO.
  7. Agricom est édité par les Publications agricoles franco-ontariennes inc., une société à but non lucratif gérée par des agriculteurs franco-ontariens.
  8. Au fil des ans, plus d’une centaine de collaborateurs ont contribué au contenu rédactionnel du journal.
  9. L’Agricom a publié un livre à l’occasion du 75e anniversaire de l’UCFO, intitulé «  Des Franco-Ontariens bien enracinés ». Ce livre est en vente à nos bureaux au coût de 10 $.
  10. Agricom possède sa page Facebook à l’adresse facebook.com/journalagricom
  11. Le site web d’Agricom était, jusqu’en août 2011, hébergé par le portail web LaVoieAgricole.ca, mais a depuis son propre nom de domaine, journalagricom.ca. Il s’agit d’un site où vous pouvez trouver toute l’information concernant l’actualité agricole, tout savoir au sujet des événements agricoles à venir, mais aussi y effectuer des recherches dans nos archives.
  12. Agricom est imprimé par l’Imprimerie Prescott-Russell depuis ses débuts, ce qui en fait le plus vieux client de l’entreprise.
  13. Agricom est membre fondateur d’une agence de placement publicitaire, Repco Média, qui a fermé ses portes en 2010.
  14. Le nom Agricom signifie « agriculture », « communauté », « communication » et « commerce ».
  15. Le bureau de l’actuel directeur général, Simon Durand, était autrefois la chambre noire, laquelle était utilisée pour développer les photos qui étaient publiées dans le journal.
  16. La mise en page du journal est passée en mode numérique en 2002.
  17. Les bureaux du journal se sont fait cambrioler deux fois, ce qui a causé quelques petits soucis puisque la base de données dans laquelle figuraient toutes les coordonnées des abonnés s’est volatilisée avec les ordinateurs. C’est Jean-Claude Clark qui a sauvé la mise, en sortant des boules à mites une liste papier des abonnés. L’équipe a dû la retranscrire dans le nouveau système informatique après que de nouveaux ordinateurs aient été achetés.
  18. L’Agricom a longtemps siégé sur le conseil d’administration de l’Association de la presse francophone, dans les années 80 et 90, et plus récemment depuis juillet 2013.
  19. Agricom est distribué dans 150 villes et villages en Ontario, de même qu’à l’international, au Québec, au Nouveau-Brunswick, en Alberta, au Manitoba, en Nouvelle-Écosse et au Nouveau-Brunswick.
  20. En trente ans, les bureaux d’Agricom ont déménagé quatre fois. D’abord publié dans les locaux du journal Le Point d’Alexandria, l’équipe s’établit à Clarence Creek, dans la maison de ferme centenaire appartenant à la famille Saumure sur le chemin Champlain. Le personnel a ensuite migré dans un ancien magasin du village, pour finalement s’établir au 2474 rue Champlain, à Clarence Creek, dans la même maison centenaire qui a été déménagée en 1990.
  21. En trente ans de publication, l’Agricom a dû sauter quatre éditions, celles de la fin juin, début juillet et deux au mois d’août 2006, pour cause de soucis financiers. Depuis, le journal a repris le dessus.
  22. L’Agricom a employé une cinquantaine de personnes au cours de ses 30 ans d’existence.
  23. L’équipe d’Agricom est composée de deux employés à temps plein, de deux à temps partiel et de pigistes.
  24. En 1986, le titre de journaliste de l’année est décerné par la Fédération d’agriculture de l’Ontario à un journaliste d’Agricom, M. Claude Dagenais.
  25. En 1998, le texte de Pierre Glaude intitulé « Où est la révolution du bon sens ? » reçoit le prix d’éditorial de l’année décerné par la Fédération des gens de la presse de l’Ontario.
  26. Toutes les archives d’Agricom peuvent être consultées aux bureaux d’Agricom.
  27. En 1999, le journal s’est mérité un prix d’excellence décerné par l’Association de la presse francophone, pour l’article « L’agriculture canadienne est en crise », d’Emmanuel Chabot.
  28. À son apogée, le tirage du journal se chiffrait à plus de 10 500 copies distribuées gratuitement.
  29. L’abonnement d’un an au journal n’a pas beaucoup augmenté depuis qu’il est payant. Il est passé de 15 $ en 1990 à 16 $ en 2004, puis à 20 $ en 2011, et finalement à 22 $ en 2013. Une augmentation de seulement 7 $ en 23 ans !
  30. Une petite annonce classée de 20 mots coûtait 4 $ en 1990. Ce n’est que 11 ans plus tard que le prix a augmenté à 9 $. Pas si cher pour vendre ou acheter !